Alex Marquez était cinquième du sprint d’Austin quand il a chuté au virage 12, à deux tours et demi de l’arrivée. Un premier résultat blanc de la saison qui s’explique par des nausées et des vomissements, a-t-il raconté à la télévision DAZN. Mais qui n’entame pas sa confiance avant la course du dimanche.
Des vomissements en pleine course : « J’ai mal commencé la course, j’ai pris un mauvais départ, j’ai pu régler plus ou moins ça au premier virage. Ensuite j’ai essayé de ne pas m’énerver, d’y aller pas à pas car j sais qu’ici c’est difficile. Il était difficile de ne pas commettre d’erreur. À la mi-course j’ai commencé à avoir mal au ventre, et j’ai vomi dans le virage où j’ai chuté. »
« La nourriture est peut-être mal passée, je ne sais pas, mais j’ai vomi, j’ai lâché le frein, je l’ai repris et j’ai trop penché sur la trajectoire. Quand je suis rentré au bureau j’ai vomi à nouveau, mais là ça va. Je vais me reposer car la course de dimanche sera longue et dure. J’ai du rythme, il faudra améliorer le départ. »
Partir devant dimanche : « Ce que j’ai trouvé lors de la troisième séance d’essais nous donne un petit plus. J’ai du mal au départ avec cette moto, l’embrayage est différent à la Honda. Si je devais prendre un élément de la Honda pour le mettre sur la Ducati, ce serait ça, mais tout ne peut pas être bien ! (rires) J’essaierai de faire un départ ni bon ni mauvais, un départ normal. Être avec le groupe de tête pendant que Pecco ouvrira la voie – car il a quelque chose en plus – sera important. »
Le jeu du chat et de la souris avec Francesco Bagnaia en Q2 : « Je crois que les gens l’ont mal interprété, ils ont vu cela comme une bataille entre lui et moi, mais ce n’était pas ça. Nous avions deux autres pilotes derrière nous et étions premier et deuxième au classement : je n’allais pas emmener les autres, dont Marini, et lui non plus. C’était plutôt ça qu’une bataille entre lui et moi. »
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