Les pilotes MotoGP ont effectué une journée de test au circuit de Jerez-Angel Nieto, au lendemain du Grand Prix d’Espagne. L’occasion de tester de nouvelles pièces pour certains, de travailler sur des faiblesses pour d’autres.

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Comment résumer le test de Jerez ? En commençant par les trois phrases reprises par à peu près tout le monde, comme souvent lors d’un test de ce genre. La première : « Nous ne nous sommes pas concentrés sur le tour chrono », puisque ce n’est pas le but d’une telle journée. La deuxième : « Nous avons trouvé des choses intéressantes », aussi déclinable en « Nous avons fait un pas en avant ». La troisième : « Nous avons encore beaucoup de travail à faire. » Et une quatrième, en bonus : « Je ne peux pas vous dire exactement quoi, mais on a testé pas mal de choses. »

Passé cela, que sait-on de ce qu’il s’est passé à Jerez ? D’abord, que le pilote le plus actif en piste a aussi été le plus rapide. Une bonne nuit de repos après sa 7e place en course, Maverick Viñales a bouclé pas moins de 101 tours (!), ce qui représente plus de deux heures et demie de roulage, avec une référence établie en 1’36.879. Mieux que son chrono de la Q2, samedi dernier (1’37.070).

Le Catalan a passé autant de temps en piste parce que c’est ce dont il a besoin pour « améliorer ses sensations » sur la M1. Il a notamment travaillé sur ses freinages, et en est satisfait : « Le matin je n’étais pas rapide sur ce point, mais ensuite je l’ai été beaucoup plus. » Il s’inspire de son coéquipier Fabio Quartararo, dont il a étudié les données car les freinages représentent son point fort.

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