La VR46 ne veut pas de Bezzecchi chez Pramac



L’équipe VR46 espère garder Marco Bezzecchi en 2024, tout en attendant de Ducati qu’une moto d’usine soit fournie au pilote italien.

L’avenir de Marco Bezzecchi sera l’un des sujets les plus discutés des prochaines semaines. Vainqueur en Argentine et en France, le poulain de Valentino Rossi occupe la deuxième place du championnat après cinq Grands Prix. Meilleur débutant de la saison 2022, il est actuellement le meilleur pilote indépendant, et se révèle être un possible candidat au titre suprême face à Francesco Bagnaia.

Arrivé en MotoGP en 2022, il pilote une Ducati mais a signé un contrat avec son équipe, le Mooney VR46 Racing Team, et non pas avec le constructeur italien. Ce-dernier assiste cependant à son ascension et va vouloir lui soumettre un contrat, afin de faire de Marco Bezzecchi un véritable pilote Ducati. Ils ont pour l’instant quatre sur la grille dans ce cas : Francesco Bagnaia, Enea Bastianini, Jorge Martin et Johann Zarco.

Les performances de l’Italien devraient aussi inciter Ducati à lui fournir une moto d’usine, et le modèle GP24 en 2024. Au contraire de cette année, où il dispose d’une moto « vieille » d’un an – il pilote la Desmosedici GP22, tandis que les pilotes estampillés Ducati roulent avec la GP23.

Pour bénéficier de toutes ces avancées – un contrat Ducati et une moto d’usine –, Marco Bezzecchi pourrait être transféré du Mooney VR46 Racing Team à Prima Pramac Racing, équipe satellite la plus soutenue par Ducati. Sauf qu’à la VR46, on ne l’entend pas de cette oreille. Alessio ‘Uccio’ Salucci l’a fait savoir au média italien Gpone : « J’aimerais que Ducati laisse Marco dans notre équipe pour (2024) et nous donne le soutien pour continuer avec lui. »

L’idée d’Uccio est de voir son pilote conserver la tunique du team VR46, tout en recevant une moto et un contrat d’usine. Autrement dit : bénéficier du même traitement que les pilotes de la structure Pramac, Jorge Martin et Johann Zarco. « Je veux le garder dans des conditions différentes de celles de cette année. Marco a un salaire et un package technique qui correspondent au niveau d’une équipe satellite. Ce ne serait pas bien de continuer comme ça », ajoute le bras-droit de Valentino Rossi.

La VR46 ne veut pas freiner les ambitions de Marco Bezzecchi. Seulement, si elle doit le laisser partir, c’est pour aller dans l’équipe d’usine (Ducati Lenovo Team), et non pas dans un autre team indépendant. « Nous travaillons pour faire intégrer nos pilotes dans l’équipe d’usine, c’est pourquoi le projet est né. (…) Mais nous ne travaillons pas pour d’autres équipes satellites. Donc je ne suis pas trop enthousiaste à l’idée de voir Ducati le mettre chez Pramac. »

Le contrat entre Ducati et le Mooney VR46 Racing Team court jusqu’à fin 2024. Celui de Marco Bezzecchi avec l’équipe italienne prendra fin à l’issue de la saison 2023. Un transfert chez Prima Pramac Racing mettrait en péril la place de Johann Zarco, que Ducati dit vouloir garder dans ses rangs.

Ciabatti (Ducati) : « Nous voulons continuer avec Zarco »

S’abonner
Notification pour
5 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
7 mois il y a

araç kiralama hizmeti almak için tek yapmanız gereken bizi aramanız

7 mois il y a

istanbul escort hizmeti

7 mois il y a

vozol gear 10000 kapıda ödeme sipariş verdim aynı gün kapıda ödemeli olarak elime ulaştı

7 mois il y a

naturally like your web site however you need to take a look at the spelling on several of your posts. A number of them are rife with spelling problems and I find it very bothersome to tell the truth on the other hand I will surely come again again.

[…] La solution proposée par le Mooney VR46 Racing Team : offrir à Marco Bezzecchi un contrat Ducati et plus de soutien technique, tout en le laissant dans l’équipe VR46. Les hommes de Valentino Rossi ne voient en effet pas d’un bon oeil que leur pilote ne s’engage dans un autre team satellite. Si transfert il doit y avoir, cela doit être vers l’équipe d’usine et non pas Pramac, adversaire de la VR46 (lire ici). […]