Forfait pour le Grand Prix des Pays-Bas, Marc Marquez s’est présenté devant les médias pour donner plus de précision sur sa blessure. L’octuple champion du monde a aussi évoqué son avenir. Un sujet sur lequel son patron, Alberto Puig, est resté évasif.
La conférence de presse de Marc Marquez était très attendue ce midi à Assen. Le pilote Honda Repsol, une nouvelle fois forfait pour la course du dimanche après-midi, a expliqué les raisons qui l’ont poussé à jeter l’éponge avant le Grand Prix. « Quand j’ai fait mes examens mardi à Madrid, tout allait bien. La douleur s’est empirée vendredi et c’était encore plus difficile samedi. Je n’ai presque pas pu dormir et c’est pour cela que j’ai décidé de ne pas rouler. »
Face aux médias, la question de son avenir chez Honda a évidemment été posée. L’octuple champion du monde a admis ne pas s’en préoccuper puisque le plus important pour lui reste sa condition physique actuelle. « Je vis le moment le plus difficile de ma carrière, je ne veux pas penser à mon futur. Tu ne peux pas savoir ce que tu feras quand tu es dans cette situation. Je dois me concentrer sur mon corps, mon mental et me remettre de tout ça. J’ai la chance d’avoir un très bon entourage qui m’aide à pousser et continuer de croire que je peux revenir au plus haut niveau. La pause estivale va évidemment m’aider. Sur le plan physique, je vais essayer d’être à Silverstone dans le même état que j’étais à Portimao. »
Présent quelques minutes avant son pilote, le directeur de l’équipe Alberto Puig n’a lui non plus donné aucune indication sur l’avenir du porteur du N°93. « On en a pas encore discuté. J’ai envie de dire qu’il sera encore là vu qu’il a un contrat. Après, chaque personne est libre de faire ce qu’elle veut. »
Le team manager espère d’abord régler la situation de son équipe, en grande difficulté depuis des mois. « Nos problèmes ne datent pas que de cette année. On ne trouve pas de réelles solutions mais on essaie. La seule chose que l’on peut faire, c’est de ne rien lâcher et de continuer de travailler. Il faut peut-être tester complètement autre chose pour y arriver. » Ce sera probablement la marche que Honda suivra lors des tests à Misano le 11 septembre prochain.
La moto avant : On va tester une nouvelle fourche, on va tester un nouveau bras oscillant, on va changer les rapports de boite…
La moto aujourd’hui : On cherche des solutions, heu… on va tester des nouvelles pièces, on va peut-être toucher un réglage d’un machin…
On a vraiment l’impression que les écuries ne sont pas capable de savoir d’où viennent leur problèmes et naviguent à vue pour tenter de les résoudre (en tout cas les japonaises)
Puisque tu es au courant de ce qu’il faut faire, tu prends ton téléphone et tu leur explique au HRC…abuti
Qu’est ce qu’il a dit de mal le Ludo? c’est pertinent. pourquoi tu le traites d’abruti? t’es aigri par quoi? Y’a trop de soleil a Comps? je peux aussi faire la meme chose que toi et t’invectiver avec des noms d’oiseaux mais autre chose de plus important a faire.
Le but de mon commentaire n’était pas de critiquer qui que ce soit. Mais auparavant quand un pilote s’exprimait devant les caméras les éléments étaient beaucoup plus clairs sur le travail l’équipe (du moins il me semble). Aujourd’hui les machines sont de véritables usines à gaz, et on a quand on écoute Fabio ou Marc, on a quand même l’impression que les équipes sont démunies.