Il y a des podiums qui ont le goût de victoire, et d’autres qui en ont l’importance. « Important » : le mot n’a pas été répété par hasard par Fabio Quartararo à l’arrivée du Grand Prix de Styrie. Son podium à Spielberg est de ceux qui pourraient s’avérer décisifs pour la conquête du titre mondial.
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Fabio Quartararo a terminé troisième d’une course à la fois calme et tendue au Red Bull Ring de Spielberg. Calme, parce qu’il s’agit de l’une ayant connu le moins de dépassements cette saison. Tendue, car elle s’est déroulée en deux temps, avec des pilotes étaient agressifs en piste, de l’électricité dans l’air, la crainte de l’arrivée de la pluie, et qu’une erreur y était facile à commettre.
On a rapidement compris que Jorge Martin et Joan Mir avaient quelque chose en plus. Chahuté au départ, Fabio Quartararo s’est vite ressaisi, doublant Francesco Bagnaia pour le compte de la quatrième place, puis Jack Miller pour la troisième. La résistance opposée par l’Australien a permis aux deux hommes de tête de s’échapper. Mais même sans ça, El Diablo ne serait pas resté au contact. « Je n’aurais pas pu rester avec eux et faire mieux (que troisième) et rester avec eux », a-t-il reconnu en conférence de presse.
Plein de sang-froid, Fabio Quartararo a laissé le duo à ses affaires, se concentrant sur la défense de son podium. La pression mise par Jack Miller ne l’a pas fait flancher. À l’inverse, l’Australien est parti à la faute, dans une configuration similaire à ce qui était arrivé à Alex Rins à Portimao. Il offre à son adversaire une médaille de bronze ô combien « importante ».
Importante, parce que Ducati plaçait de grands espoirs dans cette venue au Red Bull Ring de Spielberg. Le tracé convient plus à la Desmosedici (cinq victoires en six courses ici) qu’à la Yamaha (deux podiums). Le Grand Prix de Styrie devait permettre à Johann Zarco, Francesco Bagnaia et Jack Miller de reprendre des points à Fabio Quartararo, seul en tête du championnat. Le contraire s’est produit, car les trois hommes ont perdu du terrain : le Français a fini sixième, l’Italien onzième, l’Australien à terre.
Deux autres de ses rivaux pour le titre ont manqué le coche, dimanche : Maverick Viñales qui a calé sur la grille, et Miguel Oliveira victime d’un problème technique. De tous ses adversaires, seul Joan Mir lui reprend des points. Mais il ne récupère que 4 unités, sur un circuit où on le savait redoutable – il y a gagné en Moto3 en 2016 et 2017, puis terminé deuxième et quatrième l’an dernier.
Les comptes sont bons
En 2020, Fabio Quartararo n’avait ramené que 11 points des deux courses de Spielberg – contre 33 pour le champion du monde Joan Mir, à titre de comparaison. Il vient d’en ramasser 16 d’un coup, comme au Mans et au Sachsenring quelques semaines plus tôt. Ces trois courses là ont quelque chose en commun : le pilote Yamaha n’avait pas l’avantage, mais il a quand même réussi à assurer un bon résultat. Et c’est en avançant de la sorte qu’il consolide son statut de favori pour le titre.
Cette constance était ce qui lui manquait l’an dernier. Et ce qui pourrait lui ouvrir la voie royale dans les prochains mois. « Plus que les victoires, cette année, je pense que la différence avec l’an dernier, ce sont les places de troisième au Sachsenring, au Mans et ici. En 2020 je faisais victoire ou quinzième. La régularité progresse et c’est comme ça qu’on gagne un championnat. L’an dernier, Joan (Mir) était le plus régulier, et je pense que c’est un bon exemple à prendre en termes de régularité. »
Un deuxième rendez-vous attend Fabio Quartararo à Spielberg, le week-end prochain. Y répéter ce podium sera difficile. Mais le tricolore a quelques idées pour y parvenir. « C’est assez clair : nous avons besoin d’améliorer quelque chose au niveau du pneu arrière. (…) Nous savons que nous n’avons pas le même potentiel que Ducati à l’accélération, donc un podium ici était parfait pour nous. Notre rythme aux essais est toujours vraiment bon, mais en course je ne ressens pas la même chose à l’arrière. Le savoir est important pour le week-end prochain. Ça va être bien d’avoir ces 3-4 journées de pause pour penser à où nous pouvons travailler sur la moto et mon style de pilotage. »
Assen/Spielberg – Avance de Fabio Quartararo sur ses adversaires pour le titre :
Johann Zarco (2e) : de 34 à 40 points (+6)
Joan Mir (3e) : de 55 à 51 points (-4)
Francesco Bagnaia (4e) : de 47 à 58 points (+11)
Jack Miller (5e) : de 56 à 72 points (+16)
Maverick Viñales (6e) : de 61 à 77 points (+16)
Miguel Oliveira (7e) : de 71 à 87 points (+16)
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[…] Aux pénalités reçues en Catalogne, Fabio Quartararo répond par une 3e place en Allemagne, puis une victoire aux Pays-Bas. Son avance au championnat ne cesse de grandir. Au sortir de la trêve, les deux courses de Spielberg, en Autriche, représentent un piège pour lui, en raison des caractéristiques du circuit. Il s’en sort globalement bien (3e puis 7e en flag-to-flag). La séquence la plus dangereuse du championnat est passée. Mature et robuste face aux difficultés, il s’ouvre de plus en plus la voie du titre mondial. […]